MÉDIAS
» Domergue a immortalisé la quintessence de la Parisienne ! Cou élancé, cheveux tirés, œil de biche, bibi, voilette (je suis contre le port du voile, mais pour le port de la voilette). C’est une femme idéalisée, sophistiquée, un peu coquine, une cocotte des Fifties revue par Watteau. Bref, Domergue est à mi-chemin entre Fragonard et Aslan. »
.
Thierry Ardisson